Thomas TERIITEPOROUARAI est l’auteur du livre Te ono ha’ura écrit à l’occasion des 50 ans de l’Académie Tahitienne, Fare Vāna’a. Il fait partie des quatre nouveaux académiciens depuis son investiture datant du 19 novembre 2021. Sa rentrée à l’Académie Tahitienne est synonyme de reconnaissance de son investissement en faveur du reo tahiti. Mais il est également connu dans le monde du journalisme.
Flora Aurima Devatine m’a demandé de réaliser la maquette du livre de Thomas TERIITEPOROUARAI.
Flora m’a demandé de réaliser la maquette du livre de Thomas.
Aucune exigence particulière n’a été demandé pour ce projet éditorial.
Le livre Te Ono Ha’ura est intégralement écrit en langue tahitienne.
Ce projet éditorial n’a fait l’objet d’aucun éléments graphiques tels que des photos ou images.
Je me suis inspirée du travail de journaliste de Thomas TERIITEPOROUARAI pour concevoir la maquette de couverture du livre Te Ono Ha’ura.
J’ai gardé la structure mise en place par l’auteur pour mette en forme la maquette de l’ouvrage intitulé Te Ono Ha’ura.
L’auteur avait besoin que je réalise la maquette de son livre afin de le présenter au salon du livre pour célébrer les 50 ans de l’Académie Tahitienne.
Ce projet éditorial n’a pas nécessité une longue démarche créative car le contenu du livre Te Ono Ha’ura ne fait pas l’objet d’éléments graphiques tels que des images ou photos à l’appui des propos de l’auteur, Thomas TERIITEPOROUARAI.
Je me suis inspirée de l’expérience de journaliste de l’auteur TERIITEPOROUARAI pour concevoir la maquette de couverture du livre Te Ono Ha’ura comme si l’auteur nous racontait sa vie lors d’un interview journalistique.
Ce livre ne contient aucune illustrations que cela soit des photos, images ou une illustration.
Dimension (LxH) : 15,24 cm x 22,86 cm
ISBN : 979-10-91920-22-3
Nombre de pages : 118 pages
Thomas TERIITEPOROUARAI parle de sa vie (depuis son enfance jusqu’à ce jour) dans un quartier de la ville de Papeete, à Taunoa où est érigé le temple protestant. L’auteur parle de ce quartier Estall, de son enfance, de ses origines, de sa scolarité chez les protestants, son service militaire en France et de son retour au fenua.
Sur le plan professionnel, l’auteur parle de son admiration pour les journalistes, de son envie de faire son métier, de ses premiers pas et appréhensions avant d’être ce qu’il est aujourd’hui, un journaliste reconnu dans le métier avec une pratique parfaite de la langue tahitienne.
Merci à Jenny pour ce beau travail.
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